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MISERICORDE WEAR Official 2012

9 janvier 2015

La société Française est elle atteinte par le syndrôme de Stochkolm ?

Voici une définition, copiée sur Wikipédia et qui doit donc être lue avec retenue, car peut être pas suffisamment documentée. Mais le principe est là. Le syndrome de Stockholm désigne un phénomène psychologique où des otages partageant longtemps la vie de leurs geôliers développeraient une sorte d'empathie, voire de sympathie, ou de contagion émotionnelle avec ces derniers selon des mécanismes complexes d'identification et de survie. L'expression « syndrome de Stockholm » a été inventée par le psychiatre Nils Bejerot en 1973 mais son mécanisme était déjà bien connu et décrit, entre autres par des psychanalystes comme Sandor Ferenczi (Identification à l'agresseur) comme modalité psychique d'adaptation à toutes sortes de situations traumatiques[1] ou par Janine Puget[2]. Ce comportement paradoxal et apparemment incompréhensible qu'on retrouve notamment chez les victimes de prises d'otages fut décrit relevé et analysé en 1978 par le psychiatre américain Frank Ochberg, en relation avec un fait-divers qui eut lieu en cette même ville. Un syndrome inverse peut s'appliquer aux ravisseurs lorsque ceux-ci sont influencés par le point de vue de l'otage. On parle dans ce cas du syndrome de Lima[3]. Le fait divers à l'origineModifier Le 23 août 1973, un évadé de prison, Jan Erik Olsson, tente de commettre un braquage dans l'agence de la Kreditbanken du quartier de Norrmalmstorg à Stockholm. Lors de l'intervention des forces de l'ordre, il se retranche dans la banque où il prend en otage quatre employés. Il obtient la libération de son compagnon de cellule, Clark Olofsson, qui peut le rejoindre. Six jours de négociation aboutissent finalement à la libération des otages. Curieusement, ceux-ci s'interposeront entre leurs ravisseurs et les forces de l'ordre. Par la suite, ils refuseront de témoigner à charge, contribueront à leur défense et iront leur rendre visite en prison. Une relation amoureuse se développa même entre Jan Erik Olsson et Kristin, l'une des otages. La légende veut qu'ils se soient mariés par la suite, mais cela fut démenti[4]. Analyse du syndromeModifier Trois critères : le développement d'un sentiment de confiance, voire de sympathie des otages vis-à-vis de leurs ravisseurs ; le développement d'un sentiment positif des ravisseurs à l'égard de leurs otages ; l'apparition d'une hostilité des victimes envers les forces de l'ordre. Pour que ce syndrome puisse apparaître, trois conditions sont nécessaires[5] : l'agresseur doit être capable d'une conceptualisation idéologique suffisante pour pouvoir justifier son acte aux yeux de ses victimes ; il ne doit exister aucun antagonisme ethnique, aucun racisme, ni aucun sentiment de haine des agresseurs à l'égard des otages ; il est nécessaire que les victimes potentielles n'aient pas été préalablement informées de l'existence de ce syndrome (dans certains cas, l'agresseur peut faire preuve d'une conceptualisation idéologique capable de convaincre une victime préalablement informée du syndrome). Le syndrome de Stockholm peut être vu comme une manifestation de l'inconscient visant la survie : le sujet concerné, en s'attirant la sympathie de l'agresseur, peut se croire partiellement hors du danger, voire susceptible d'influencer les émotions de l'agresseur. Si la pacification débouche sur une fraternisation, il peut même imaginer sauver sa vie. C'est en fait simplement de sa propre angoisse que le sujet se protège, car le danger est toujours réel : l'agresseur n'a pas lancé son action sans être prêt à toutes ses conséquences. Le syndrome de Stockholm est un syndrome émergent psychotique comme on en observe parfois dans les situations extrêmes, y compris si le sujet n'a pas une personnalité psychotique. Erich Fromm énonce en 1940, dans La Peur de la liberté, les bases psychologiques causant ce syndrome, sans le nommer ainsi. Le terme sera adopté après l'incident à Stockholm en 1973 pour désigner ce phénomène d'abandon de son identité par crainte de l'autorité. Entretemps, l'expérience de Milgram avait permis de la mettre en évidence expérimentalement.
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8 janvier 2015

Questions autour du massacre de Charlie Hebdo

Le massacre de Charlie Hebdo, comme tous ceux qui sont attachés à la liberté, m'a sidéré. Mais pas surpris. Depuis le développement de l'islam en France, rien n'a était fait pour INTERDIRE l'émergence des courants extrémistes de ce courant religieux. Au nom des droits de l'homme, on à voulu rêver. Rêver que les individus qui se dirigeaient dans ces courant pouvaient, avec de bons services de renseignements d'un côté, et une bonhommie bienveillante et Franchouillarde de l'autre, au bout d'un laps de temps plus ou moins flou, ne plus faire de mal à personne, en tous les cas pas sur le territoire Français. Les nouvelles technologies ont totalement modifiées ces façons de penser la réalité. Chacun peut, aujourd'hui, entre une pizza surgelée et une série américaine, se radicaliser tranquillement chez lui, sans embêter ses voisins. Jusqu'au jour ou il décide de passer à plus sérieux, s'achète une arme et tue des gens. Les auteurs du massacre de Charlie Hebdo ne sont pas nécessairement du type pizza/série. Ils semblent très entraînés, très bien préparés, et font preuve d'une froideur dans l'exécution de leur crime qui semble 'professionnelle'. Cependant, mohamed merah, le tueur du musée Juif en Belgique, le gang des barbares de fofana, l'agressur qui a perpétré l'attaque ratée de libération, l'agresseur de ce matin (09.01.2015-Montrouge), les égorgeurs et décapitées partis en Syrie (entre autres), font partie, eux, de cette catégorie. J'ai lu et j'entends que cette attaque n'a rien à voir avec l'islam. Je suis stupéfait que l'on puisse dire ou écrire cela. Que ces actes ne présente pas de lien évident avec la totalité des différentes communautés musulmanes mondiales peut être défendu en effet, mais prétendre qu'ils n'ont aucun lien avec l'islam m'abasourdis. D'individus qui, avant de perpétrer des meurtres, des massacres, crient "allah u akbar" et prétendent venger le prophète, l'on puisse dire qu'ils n'ont -aucun lien avec l'islam- est très préoccupant pour la pensée analytique. C'est sans doute un réflexe archétypal psychique profond de survie, mais cela ne peut être considéré comme une pensée construite. Ou : ces meurtres, ces massacres, ces enlèvements, ces séquestrations, ces viols, ces défigurations, ces immolations, ces décapitations, ces égorgements, ces lapidations, ces pendaisons, ces attentats suicides, ces interdictions d'étudier, ont tout à voir avec l'islam puisque tous sont perpétré en nom. Que nous soyons sidérés de devoir l'admettre est une chose, mais que nous ne le fassions pas en est une autre, autrement plus préoccupante.
8 janvier 2015

Pourquoi revendiquer ses racines est il une nécessité, que penser de PEGIDA ?

Les racines de l'Europe sont Chrétiennes,

Ce qui permit à l'Europe de devenir ce qu'elle est devenue à travers l'histoire est une ensemble et une superposition de multiples facteurs, politiques, religieux, guerriers, culturels et artistiques.

Chaque époque regarde l''histoire avec un grand ou un petit H,utilisant le regard qu'elle est capable de poser sur elle à un moment précis.

Chaque généation se questionne, s'interroge, sur ses racines, son passé et son avenir.

C'est légitime et noble.

Respecter ceux qui nous ont précédés, qui ont batti avant nous et créé avant nous, ceux qui ont cherché avant nous et érigé avant nous, avec une vision sur le long terme, semble être la moindre des choses.

Aujourd'hui cependant, nous semblons plongés dans un maëlström de relativisme, qui permet à tout un chacun de défendre sa perception de la réalité, réalité qu'il se construit bien souvent à travers les nouvelles technologies, pour le meilleur et souvent pour le pire..

L'histoire, et principalement l'histoire des Pays et des Nations, subit des contradictions de toutes parts, contradictions souvent peu ou pas étayées, entretenue par des individus ou des groupes plus ou moins bienveillants envers les dits pays. 

Ainsi les fondements de l'hitoire civilisationnelle de l'Europe commencent ils à subir les assauts de ces groupes, qui ont, pour certains, le but avoué de la détruire.

Aussi est il extrêmement urgent d'affirmer qui nous ne sommes pas, qui nous sommes, quelles sont les valeurs qui nous réunissent et celles qui doivent absolument être bannies.

- L'Europe est Chrétienne :

Les évolutions ayant suivit la seconde guerre mondiale, en Europe ( culture intensive, alimentation de masse développement de l'hygiène, progrès technologiques et médicaux, amélioration du confort général ) ont relégué le fait religieux à l'intime, et les conditions générales de confort s'améliorant, croire en Dieu semble aujourd''hui pour beaucoup être superflu, inutile ou représenter une perte de temps.

Ce qui autrefois faisait le ciment commun, le socle culturel de notre continent, et ceci jusqu'à Byzance est aujourd'hui au mieux ignoré ou bien regardé d'un oeil amusé, compatissant, au pire honni.

Les dirigeants des gouvernements Européens, pour des raisons diverses dont la plupart semblent relativement obscures, refusent d'affirmer cette évidence.

Pourtant, cette affirmation élémentaire serait salutaire à bien des égards.

Non pour ostraciser (je n'emploierai pas ici le terme stigmatiser qui est un terme dévoyé), mais pour être soi.

misericordewear.fr

 

 

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